Titre : | Une guerre amoureuse | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alain Ravennes, Auteur | Editeur : | Paris : A. Michel | Année de publication : | 1983 | Importance : | 355 p | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-226-01145-9 | Prix : | 8 € | Langues : | Français | Résumé : | Commencé à 23 ans et écrit au long de 7 années, Une guerre amoureuse restera peut-être comme les nouvelles confessions d'un enfant du siècle. Ou plutôt d'un enfant de l'anti-siècle, tant ce chant de la passion désespérée est aussi un cri de guerre contre ce siècle. Contre le siècle lui-même, ni plus, ni moins.
D'où la liberté de sentiments et de ton de ce roman. Et pourquoi il parvient à magnifier un désir dont la littérature avait admis depuis longtemps, sous forme de plaidoyer ou de provocation, la culpabilité. Car dans ce livre d'amour masculin où alternent le lyrisme et l'ironie, l'introspection et le rêve, le péché est étonnamment absent. Seule la mort est accusée.
Le titre de ce roman a une autre raison. Dans l'esprit crucifié du narrateur, l'amour et la politique n'en finissent pas de s'opposer et de s'épouser. Comme s'il y avait un être politique de l'amour et une nature amoureuse de la politique. Comme s'il y avait un lien entre la solitude amoureuse et celle d'un certain 18 juin. |
Une guerre amoureuse [texte imprimé] / Alain Ravennes, Auteur . - Paris : A. Michel, 1983 . - 355 p. ISBN : 978-2-226-01145-9 : 8 € Langues : Français Résumé : | Commencé à 23 ans et écrit au long de 7 années, Une guerre amoureuse restera peut-être comme les nouvelles confessions d'un enfant du siècle. Ou plutôt d'un enfant de l'anti-siècle, tant ce chant de la passion désespérée est aussi un cri de guerre contre ce siècle. Contre le siècle lui-même, ni plus, ni moins.
D'où la liberté de sentiments et de ton de ce roman. Et pourquoi il parvient à magnifier un désir dont la littérature avait admis depuis longtemps, sous forme de plaidoyer ou de provocation, la culpabilité. Car dans ce livre d'amour masculin où alternent le lyrisme et l'ironie, l'introspection et le rêve, le péché est étonnamment absent. Seule la mort est accusée.
Le titre de ce roman a une autre raison. Dans l'esprit crucifié du narrateur, l'amour et la politique n'en finissent pas de s'opposer et de s'épouser. Comme s'il y avait un être politique de l'amour et une nature amoureuse de la politique. Comme s'il y avait un lien entre la solitude amoureuse et celle d'un certain 18 juin. |
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