Titre : | Art queer : Une théorie freak | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Renate Lorenz, Auteur | Editeur : | Paris : B42 | Année de publication : | 2018 | Importance : | 200 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-917855-93-5 | Prix : | 24€ | Langues : | Français Langues originales : Anglais | Catégories : | Arts:Peinture, arts graphiques
| Mots-clés : | art, queer, histoire de l'art, dénormalisation | Résumé : | Art queer s’intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l’écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s’associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l’art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d’agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d’objets historiques par affinité. L’art queer cultive l’anachronisme comme méthode.
En s’appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l’histoire de l’art, que la manifestation d’une méthode, que l’auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d’assemblages, « des connections productives entre le naturel et l’artificiel, l’animé et l’inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter ». |
Art queer : Une théorie freak [texte imprimé] / Renate Lorenz, Auteur . - Paris : B42, 2018 . - 200 pages. ISBN : 978-2-917855-93-5 : 24€ Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : | Arts:Peinture, arts graphiques
| Mots-clés : | art, queer, histoire de l'art, dénormalisation | Résumé : | Art queer s’intéresse à la façon dont les stratégies de dénormalisation mises en place par les arts visuels peuvent se prolonger par le biais de l’écriture. Dans les trois chapitres de ce livre, les discussions théoriques et artistiques s’associent à la théorie queer, aux études sur la handicap et à la théorie postcoloniale pour définir trois pratiques : le drag radical, le drag transtemporel et le drag abstrait. Une des caractéristiques de l’art queer, tel que le définit Renate Lorenz, est sa possibilité d’agir à travers le temps, désorganisant une chronologie positiviste et se saisissant d’objets historiques par affinité. L’art queer cultive l’anachronisme comme méthode.
En s’appuyant sur le travail de onze artistes, le livre est moins une tentative de relecture de l’histoire de l’art, que la manifestation d’une méthode, que l’auteure nomme drag, qui rendrait apparents des modes d’assemblages, « des connections productives entre le naturel et l’artificiel, l’animé et l’inanimé, tout ce qui permet de produire des connections aux autres et aux choses plutôt que de les représenter ». |
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