Titre : | Porporino ou les Mystères de Naples | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Dominique Fernandez (1929-....), Auteur | Editeur : | Paris : B. Grasset | Année de publication : | 1974 | Importance : | 1 vol. (396 p.) | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-246-00124-9 | Prix : | 38 F | Langues : | Français | Catégories : | Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autre
| Résumé : | Ne cherchez pas Porporino dans les annales des castrats de l'opéra napolitain de la fin du XVIIIe siècle. C'est le narrateur inventé de cette autobiographie imaginaire, mais il en dit long sur " les fastes de Naples au temps de sa splendeur ". On y croisait alors le jeune Mozart ou le vieux Casanova, l'aventurière lady Hamilton ou ce fou de prince Sansevero... Au fil de ce roman cultivé, audacieux et baroque, Dominique Fernandez fait jouer, jouir, chanter, exulter une époque, tout en livrant une profonde méditation sur la liberté d'un être " prodigieusement enrichi d'avoir échappé à l'obligation d'être un homme ! ". En suivant Porporino, on se laissera, en musique, aller au rêve jusqu'aux portes de l'Eden. |
Porporino ou les Mystères de Naples [texte imprimé] / Dominique Fernandez (1929-....), Auteur . - Paris : B. Grasset, 1974 . - 1 vol. (396 p.) ; 23 cm. ISBN : 978-2-246-00124-9 : 38 F Langues : Français Catégories : | Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autre
| Résumé : | Ne cherchez pas Porporino dans les annales des castrats de l'opéra napolitain de la fin du XVIIIe siècle. C'est le narrateur inventé de cette autobiographie imaginaire, mais il en dit long sur " les fastes de Naples au temps de sa splendeur ". On y croisait alors le jeune Mozart ou le vieux Casanova, l'aventurière lady Hamilton ou ce fou de prince Sansevero... Au fil de ce roman cultivé, audacieux et baroque, Dominique Fernandez fait jouer, jouir, chanter, exulter une époque, tout en livrant une profonde méditation sur la liberté d'un être " prodigieusement enrichi d'avoir échappé à l'obligation d'être un homme ! ". En suivant Porporino, on se laissera, en musique, aller au rêve jusqu'aux portes de l'Eden. |
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