Titre : | Palais de glace | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Tarjei Vesaas (1897-1970), Auteur | Editeur : | Paris : Flammarion | Année de publication : | 1985 | Collection : | G.F., ISSN 0768-0465 num. 423 | Importance : | 190 p. | Prix : | 21,93 F | Langues : | Français Langues originales : Norvégien | Catégories : | Genres:Enfance / Relations familiales Genres:Sentimental Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autre
| Résumé : | Le don de Tarjei Vesaas, peut-être le plus grand écrivain norvégien de ce siècle (1897-1970), aura été de savoir abolir la dérisoire ligne de démarcation entre vie et mort, solitude et présence. Il n'y a pas d'explication toute prête à proposer de ce chef-d'œuvre qu'est Palais de glace, tant la symbolique en est riche et les harmoniques multiples. Peut-être ne s'agit-il que d'une variation intensément poétique sur le grand secret du thème sacré : l'amour plus fort que la mort. Les deux petites filles qui s'aiment à en mourir, qui aiment l'amour plus qu'elles-mêmes réalisent leur rêve fou, l'une dans la fantastique splendeur de la cascade figée par le gel en un sublime château de glace, l'autre dans un immatériel palais du souvenir. |
Palais de glace [texte imprimé] / Tarjei Vesaas (1897-1970), Auteur . - Paris : Flammarion, 1985 . - 190 p.. - ( G.F., ISSN 0768-0465; 423) . 21,93 F Langues : Français Langues originales : Norvégien Catégories : | Genres:Enfance / Relations familiales Genres:Sentimental Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autre
| Résumé : | Le don de Tarjei Vesaas, peut-être le plus grand écrivain norvégien de ce siècle (1897-1970), aura été de savoir abolir la dérisoire ligne de démarcation entre vie et mort, solitude et présence. Il n'y a pas d'explication toute prête à proposer de ce chef-d'œuvre qu'est Palais de glace, tant la symbolique en est riche et les harmoniques multiples. Peut-être ne s'agit-il que d'une variation intensément poétique sur le grand secret du thème sacré : l'amour plus fort que la mort. Les deux petites filles qui s'aiment à en mourir, qui aiment l'amour plus qu'elles-mêmes réalisent leur rêve fou, l'une dans la fantastique splendeur de la cascade figée par le gel en un sublime château de glace, l'autre dans un immatériel palais du souvenir. |
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