Titre : | Vivre me tue | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Paul Smaïl (1947-2013), Auteur | Editeur : | Paris : J'ai lu | Année de publication : | 1998 | Collection : | J'ai lu | Sous-collection : | Roman num. 4951 | Importance : | 186 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-290-04951-8 | Prix : | 27 F | Langues : | Français | Catégories : | Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autofiction et autobiographique
| Résumé : | On ne sait pas qui est Paul Smaïl. On sait seulement qu'il a choisi ce pseudonyme parce qu'il peut, à l'anglaise, se prononcer "smile". Cette autobiographie fictive d'un jeune beur est en effet pleine de joie de vivre et de punch. Et il en faut quand on a une gueule de berbère, un grand-père mort pour la France, un oncle assassiné en 1961 par la police française et un petit frère qui joue les Monsieur Muscle dans les peep-show avant de se décomposer sous l'effet des anabolisants. Comment trouver dans ces circonstances l'énergie de survivre, de lire, d'écrire quand on erre d'un boulot précaire à un autre, livreur de pizzas, commis dans une librairie, gardien d'un hôtel de passe?
Le succès de ce premier roman n'est pas seulement dû au mystère qui entoure son auteur, ni à la vision comico-dépressive qu'il donne de la société, mais à la rage qui anime son écriture. Peut-être aussi à l'idée qui sous-tend tout le livre : que dans un monde en pleine décomposition, la fraternité et la littérature restent des moyens de s'en sortir. --Gérard Meudal |
Vivre me tue [texte imprimé] / Paul Smaïl (1947-2013), Auteur . - Paris : J'ai lu, 1998 . - 186 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( J'ai lu. Roman; 4951) . ISBN : 978-2-290-04951-8 : 27 F Langues : Français Catégories : | Littérature Littérature:- Roman Littérature:Autofiction et autobiographique
| Résumé : | On ne sait pas qui est Paul Smaïl. On sait seulement qu'il a choisi ce pseudonyme parce qu'il peut, à l'anglaise, se prononcer "smile". Cette autobiographie fictive d'un jeune beur est en effet pleine de joie de vivre et de punch. Et il en faut quand on a une gueule de berbère, un grand-père mort pour la France, un oncle assassiné en 1961 par la police française et un petit frère qui joue les Monsieur Muscle dans les peep-show avant de se décomposer sous l'effet des anabolisants. Comment trouver dans ces circonstances l'énergie de survivre, de lire, d'écrire quand on erre d'un boulot précaire à un autre, livreur de pizzas, commis dans une librairie, gardien d'un hôtel de passe?
Le succès de ce premier roman n'est pas seulement dû au mystère qui entoure son auteur, ni à la vision comico-dépressive qu'il donne de la société, mais à la rage qui anime son écriture. Peut-être aussi à l'idée qui sous-tend tout le livre : que dans un monde en pleine décomposition, la fraternité et la littérature restent des moyens de s'en sortir. --Gérard Meudal |
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