Titre : | Tu vas me faire mourir, mon lapin | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Fanny Chiarello (1975-....), Auteur | Editeur : | Lille : Page à page | Année de publication : | 2001 | Collection : | Pocket | Importance : | 190 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-266-12115-6 | Prix : | 4,70€ | Langues : | Français | Catégories : | Littérature:- Roman
| Mots-clés : | amour, lesbienne, rêve | Résumé : | Cette sale manie qu'ont les mères de toujours jouer les sphinx. "Je sais ce qu'il se passe, crois-moi, Claire, je sais beaucoup de choses. On le sait, que tu vis avec une fille. Tu nous roules dans la farine. Et avec ta musique, tu vas rester sur le carreau..." Oui, Claire vit avec une fille, qu'elle aime plus que tout au monde, elle vit en bricolant des petites musiques sur son PC, elle ne veut pas d'un vrai travail, refuse d'entrer dans l'administration. Elle voudrait simplement prendre un petit apéro tranquille avec son amie, éteindre le portable et rêver que rien, jamais, ne les sépare. Ne faire de mal à personne, ni aux autres ni à soi. Est-ce trop demander ? |
Tu vas me faire mourir, mon lapin [texte imprimé] / Fanny Chiarello (1975-....), Auteur . - Lille (61 Av. du Peuple-Belge, 59800) : Page à page, 2001 . - 190 pages. - ( Pocket) . ISBN : 978-2-266-12115-6 : 4,70€ Langues : Français Catégories : | Littérature:- Roman
| Mots-clés : | amour, lesbienne, rêve | Résumé : | Cette sale manie qu'ont les mères de toujours jouer les sphinx. "Je sais ce qu'il se passe, crois-moi, Claire, je sais beaucoup de choses. On le sait, que tu vis avec une fille. Tu nous roules dans la farine. Et avec ta musique, tu vas rester sur le carreau..." Oui, Claire vit avec une fille, qu'elle aime plus que tout au monde, elle vit en bricolant des petites musiques sur son PC, elle ne veut pas d'un vrai travail, refuse d'entrer dans l'administration. Elle voudrait simplement prendre un petit apéro tranquille avec son amie, éteindre le portable et rêver que rien, jamais, ne les sépare. Ne faire de mal à personne, ni aux autres ni à soi. Est-ce trop demander ? |
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