Titre : |
Le Jardin d'acclimatation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yves Navarre (1940-1994), Auteur |
Editeur : |
Paris : Flammarion |
Année de publication : |
1980 |
Importance : |
392 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-064291-2 |
Prix : |
42,05 F |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Genres:Enfance / Relations familiales Littérature Littérature:- Autobiographique Littérature:- Roman
|
Résumé : |
Ce qui importe, c’est cette fresque grouillante de mots, ce portrait à l’acide d’une famille française qui glisse ses doutes, ses fêlures, se livrant avec nous avec lenteur et une certaine dureté. Toutes les fissures d’une vie, toutes les craintes, toutes les faiblesses s’y avouent par bribes. Jamais Navarre, peintre de la famille bourgeoise, ne s’était fait aussi précis, aussi poignant”. -Gilles Pudlowski, les Nouvelles littéraires.
Vingt ans après, le jour anniversaire du crime sans cadavre, tute la famille Prouillan est secouée par un gran dfrisson d'horreur et de mémoire : c'est ce frisson qu'Yves Navarre raconte en 400 pages d'une densité, d'une tendresse et d'une férocité superbes. - François Nourissier. Le Figaro magazine.
Par des touches, en sourdine, Yves Navarre dénonce le conformisme bourgeois, le rôle abusif du père, vis-à-vis de ses enfants, il parle de la solitude qui garde l'homme prisonnier de lui-même, il fait palpiter les coeurs, et même lorsqu'il fustige la famille, c'est un désarroi, un appel de tendresse que l'on devine entre les lignes. - Françoise de Comberousse. France-Soir |
Le Jardin d'acclimatation [texte imprimé] / Yves Navarre (1940-1994), Auteur . - Paris : Flammarion, 1980 . - 392 p. ; 20 cm. ISBN : 978-2-08-064291-2 : 42,05 F Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Genres:Enfance / Relations familiales Littérature Littérature:- Autobiographique Littérature:- Roman
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Résumé : |
Ce qui importe, c’est cette fresque grouillante de mots, ce portrait à l’acide d’une famille française qui glisse ses doutes, ses fêlures, se livrant avec nous avec lenteur et une certaine dureté. Toutes les fissures d’une vie, toutes les craintes, toutes les faiblesses s’y avouent par bribes. Jamais Navarre, peintre de la famille bourgeoise, ne s’était fait aussi précis, aussi poignant”. -Gilles Pudlowski, les Nouvelles littéraires.
Vingt ans après, le jour anniversaire du crime sans cadavre, tute la famille Prouillan est secouée par un gran dfrisson d'horreur et de mémoire : c'est ce frisson qu'Yves Navarre raconte en 400 pages d'une densité, d'une tendresse et d'une férocité superbes. - François Nourissier. Le Figaro magazine.
Par des touches, en sourdine, Yves Navarre dénonce le conformisme bourgeois, le rôle abusif du père, vis-à-vis de ses enfants, il parle de la solitude qui garde l'homme prisonnier de lui-même, il fait palpiter les coeurs, et même lorsqu'il fustige la famille, c'est un désarroi, un appel de tendresse que l'on devine entre les lignes. - Françoise de Comberousse. France-Soir |
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